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Bernadette Lemarchand
Originaire de Noyal-Pontivy, dans le Morbihan, Bernadette Lemarchand a enseigné pendant trente-cinq ans en classe maternelle, puis au collège et en primaire. À l’aube de ses soixante-dix ans, elle a souhaité écrire et partager le récit de son enfance. Plus qu’une simple biographie, Une valise bien trop lourde propose une réflexion sur de nombreux sujets, en lien avec les événements qui l’ont marquée.
Camille Le Mercier d’Erm
Poète sous le nom de plume de Kammermor, Camille Le Mercier d’Erm (1888-1978) fut aussi un militant breton, fondateur du premier parti nationaliste breton en 1911.
Il est notamment l’auteur de Irlande à jamais, ode aux martyrs de 1916.
Marie-Cécile Le Thiec
Marie-Cécile Le Thiec vit, écrit et peint à Noyal-Muzillac, dans le Morbihan. Ses toiles très colorées ont fait l’objet de plusieurs expositions dans la région de Questembert.
Danièle Louveau-Jouan
Danièle Louveau-Jouan, titulaire d’un BTS de Tourisme à 19 ans, a d’abord travaillé en agence avant de devenir guide indépendante et de se constituer, au fil des ans, une clientèle fidèle et de très grande qualité. En parallèle, elle a poursuivi des études de littérature et d’histoire à la Sorbonne pendant neuf ans. Elle présente une impressionnante liste de visites en français, en anglais ou en allemand, langues qu’elle parle couramment, comme son métier l’exige…
Danièle Louveau-Jouan est l’auteure de l’ouvrage Une vie au pays des touristes, qui présente mille facettes du métier de guide-interprète, qu’elle a exercé pendant plus de quarante ans.
Site Internet de l’auteur: www.guideinparis.com
Jean Lozac’h
Né en 1933 dans la région de Concarneau, Jean Lozac’h a été instituteur avant de se lancer dans une carrière politique locale pour le parti Socialiste. Conseiller municipal de Trégunc de 1983 à 1989, maire de 1989 à 1998, conseiller général de 1998 à 2004, il a aussi œuvré pour le développement des infrastructures de dons de sang et de transfusion sanguine dans le Finistère.
Laurence Nossent
Originaire du Poitou, Laurence Nossent a vécu la plus grande partie de sa vie en Lorraine avant de se fixer dans le Morbihan.
Je suis une fille de la nuit est son premier livre.
Henri Oillic
Natif d’Elven, Henri Oillic a mené une carrière d’enseignant en histoire et en géographie aux lycées Alain René Lesage et Charles de Gaulle de Vannes, tout en s’investissant dans la vie culturelle bretonne. Il est notamment le fondateur du bagad d’Elven.
Passionné par sa région et les richesses de son patrimoine, il a partagé son érudition en signant plusieurs ouvrages de textes et d’aquarelles. Kerlo, une seigneurie en pays vannetais est son premier livre publié chez Stéphane Batigne Éditeur.
Michèle Olivier-Poletti
Patrick Pierre
Belge d’origine, Breton de cœur et aujourd’hui résident bavarois, Patrick Pierre a une trajectoire personnelle originale. Nouvelliste primé à l’occasion de différents concours d’écriture, il s’essaie pour la première fois au roman avec L’Abîme, qui fait le pont entre la Bavière et le Finistère.
Plusieurs de ses nouvelles ont été publiées en anthologies chez Stéphane Batigne éditeur: «Comme un lapin» (Ombres et lumières, 2016), «Burning Stones» (Longères, bombardes et ressacs, 2016) et «Vertiges» (Au fil du canal – Nouvelles de Malestroit, 2017).
Clôde Plancade
Né en 1946 à Toulouse, Clôde Plancade a concilié études universitaires et football à Poitiers, avant de se consacrer à l’enseignement à Melun, en Seine-et-Marne, pendant vingt ans, et de retrouver en partie ses racines, à Miélan, dans le Gers, où il a poursuivi et terminé sa carrière de professeur.
Passionné de sport, de théâtre, de peinture et de littérature, il a mis son enthousiasme au service de son entourage professionnel, afin de partager ses passions avec le plus grand nombre.
Jacques Poletti
Né dans une famille lyonnaise bourgeoise, d’origine corse et alsacienne, Jacques Poletti (1923-2016) se laisse entraîner dans un mouvement pétainiste anti-bolchévique à la sortie de l’adolescence, en 1942. Quelques mois plus tard, sans vraiment avoir compris ce qui lui arrivait, il se retrouve intégré à la Légion des volontaires français et envoyé sur le front russe. Assimilé aux SS, il s’échappe vers l’Italie, mais est fait prisonnier par les Américains. Il s’évade à nouveau, est condamné à mort par contumace et doit s’exiler.
Grâce aux Quakers, il embarque pour les États-Unis sous un faux nom en 1946 et découvre un pays, un peuple, une culture qui le fascinent et le marquent à jamais. Il reste près de dix ans entre la Californie et la Côte Est, avec un statut précaire de clandestin, ce qui ne l’empêche pas de faire des études, de se marier, d’ouvrir un restaurant, de diriger une troupe de théâtre, de donner des cours, etc.
De retour en France en 1956, Poletti tente de s’y réenraciner, mais l’appel de l’Amérique est le plus fort. Dès que ses problèmes de visa sont résolus, il retourne vivre aux États-Unis.
À l’âge de 90 ans, il redécouvre les nombreuses lettres qu’il a envoyées à ses parents entre 1942 et 1964. Cette abondante correspondance, présentée et mise en contexte par son épouse Michèle, fait l’objet de trois volumes: Et c’est une belle étoile qui guide nos jours… (1942-1946), Les tribulations d’un jeune Français aux États-Unis (1947-1956) et Retour au pays… et les joies de la paternité (1956-1964).
Jacques Poletti est le fils de Jean Poletti et Mathilde Rohmer, dont la correspondance pendant la Première Guerre mondiale a été publiée sous le titre Mathilde et Jean.
Mathilde Rohmer et Jean Poletti
Mathilde Rohmer et Jean Poletti, jeunes Lyonnais d’origines alsacienne et corse, se rencontrent en avril 1914 et se plaisent immédiatement. Ils commencent à se fréquenter, mais le déclenchement de la Première Guerre mondiale met un sérieux frein à leur relation. Pendant tout le conflit et jusqu’en 1919, il entretiennent une correspondance à la fois amoureuse et patriotique, échangeant leurs sentiments, leurs soucis, leurs espoirs, mais aussi les petits riens de leur quotidien.
Ces lettres, retrouvés près de cent ans après leur rédaction, ont été publiées sous le titre Mathilde et Jean.
André Sachet
Né en 1935 en Mayenne, André Sachet a exercé le métier d’éducateur spécialisé. Il écrit depuis longtemps et a commencé à publier en 2005, explorant des domaines liés à des expériences vécues : les soins palliatifs (Les Bien-veillants, 2013), des rencontres avec des poètes, des photographes, des peintres (Face à face : Le modèle et son peintre, 2015).
Dans son recueil de nouvelles Peines perdues (2016), il met en scène des situations et des personnages tristes ou drôles, mais toujours profondément humains.
Chez Stéphane Batigne Éditeur, il a participé au recueil Longères, bombardes et ressacs avec sa nouvelle «Angèle» (2016) et au recueil Au fil du canal – Nouvelles de Malestroit (2017) avec «Mine de rien», qui a reçu le prix de la ville de Malestroit du concours de la nouvelle 2017. Cette nouvelle a donné son titre au recueil Mine de rien, publié en 2017 aux éditions Mille et une vies.
Patrick Schlund
Né en 1965 à Mulhouse, Patrick Schlund était formateur, diplômé en biologie, en informatique industrielle, en psychologie et en ressources humaines. Il est décédé au printemps 2013. Son essai de psychologie Du tâtonnement à la rencontre est son unique ouvrage publié.
Il était le petit-fils de Pierre Schlund.
Pierre Schlund
Né dans le Haut-Rhin en 1890, Pierre Schlund venait d’achever ses études d’ingénieur lorsque la Première Guerre mondiale éclata. Il y participa malgré lui comme soldat allemand, avant de déserter pour se joindre à l’armée française et à son service de contre-espionnage.
Devenu dirigeant d’une usine métallurgique basée en Franche-Comté, il traversa la Deuxième Guerre mondiale en assurant par tous les moyens la sécurité de sa famille et de ses proches, tout en sauvegardant les intérêts industriels de son entreprise et de la France. L’occupation allemande, puis la Libération et enfin l’occupation de l’Allemagne lui donneront de nombreuses occasions de se distinguer par son courage, sa loyauté, son sens pratique et sa débrouillardise.
Shao
Shao (Blandine Chou) est une artiste autodidacte qui dessine depuis sa plus tendre enfance. Pour illustrer le livre Drôles d’expressions, elle a choisi un visuel naïf et enfantin aux couleurs pastel pour exprimer le voyage de Céleste au cœur de l’absurde.